Mercredi 30 avril 3 30 /04 /Avr 11:37
Bonjour, je m'appelle Takumi Aoyama et j'ai 20 ans; je suis actuellement à l'université.
Je suis asser mignon, je crois, mes chaveux sont noirs et constamment décoiffés, mais mes yeux sont d'un bleu profond et les filles trouvent mes lèvres pulpeuses...
Bah, après tout, si elles le disent... mais peu importe.
Cette jistoire débutera en Juin 2006.
J esors du lycée, la chaleur est étouffante, a ce moment la, j'ignorai encore que j'allais faire une rencontre qui allait changer ma vie du tout au tout.
Par kagura - Publié dans : coeur brisé
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Mercredi 30 avril 3 30 /04 /Avr 11:46
C'est pas vrai, mais c'est pas vrai !!!
J'ai rarement vu une journée aussi pourrie que celle ci :

-J'arrive en cours avec une demie heurs de retard parceque la saloperie qui me sert de reveil n'a pas sonnée.
-J'ai eu une mauvaise note à un contrôle.
-A midi, ma petite amie m'a largué pour un autre mec.
-Et maintenan, je suis en retard à mes cours du soir.
Super journée hein?


Dans mon affolement, je remarque qu'un homme devant moi ne s'est pas aperçu qu'un papier s'est échappé du porte document qu'il tenait sous son bras.
Moi, affolé, peut être, mais toujours serviable, je ramasse le papier et arrête l'homme à qui il appartient.

-Excusez moi, monsieur?

L'homme se retourne.

-Oui?

Incapable de rester de marbre devant ce visage si doux et attirant, je rougis.
L'homme est blond aux yeux marrons, ses cheveux sont légerement plus décoiffés que les miens
.

-Euh, je... Vous avez perdu ça, dis je en lui tendant le papier.
-Vraiment? Répondit il, surprit, Ah, tiens oui, c'est vrai, merci.
-De rien, dis je, maintenant, excusez moi, je dois y aller, fit je, esquivant un mouvement de côté.
-Attendez, fit il en me retenant par le bras. Dites moi au moins votre nom.
-Je m'appelle Takumi Aoyama, répondis je.
-Eh bien, Takumi, ce papier est sans doute plus précieux que tu ne l'imagine, peut être qu'un jour, je t'inviterais à déjeuner pour te remercier, voici ma carte, si tu te sens seul, alors appelle moi.


Je pris le morceau de carton qu'il me tendait et lut ce qui y était écrit :

Asahi Fujiyoshi - dessinateur -  suivi d'un numero de télephone.
M'arrachant à la contemplation de sa carte, je l'entendit me demander :


-Dis moi, ne devais tu pas y aller?

Retour à la réalité - merde, mes cours du soir.

-Hein? Ah si, au revoir, dis je en reprenant ma course.
Par kagura - Publié dans : coeur brisé
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Mercredi 30 avril 3 30 /04 /Avr 18:28
Je rentre chez moi, en marchant cette fois, et en baillant, mes cours du soir son enfin terminés, bien evidemment, je suis arrivé en retard...
Je met la clé dans la serrure.

Merde, pourquoi ça rentre pas?
Ah, évidemment, si j'essaye d'ouvrir la porte d'entrée avec la clé de la boite aux lettres...
Ah, tiens, si j'ai pas réussi à ouvrir la boite auw lettres tout à l'heure, c'est peu être parceque j'avais la clé de la porte d'entrée...


La bonne clé trouvée, j'ouvre la porte et rentre chez moi, je suis affamé, je dépose mon sac sur une chaise, il y a un mot sur la table de la cuisine, ils sont sortis et un plat de nouilles instantanées m'attends dans le micro ondes.
Comme d'habitude, à peu de choses près.
Je mange mes nouilles en faisant mes devoirs, je n'y arrive pas très bien, je n'ai pas été à l'école aujourd'hui.
Comme d'habitude; de toutes façons, je n'ai jamais eu de très bonnes notes, sauf en art plastiques.

Cool, un point commun avec Fujiyoshi-san.
Quoi, j'ai pensé moi?
Putain, ça s'arrange pas?

J'ai fini mes devoirs, et je suis allé prendre ma douche; ensuite, je me suis couché, pour m'endormir d'un sommeil agité.
Par kagura - Publié dans : coeur brisé
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Mercredi 30 avril 3 30 /04 /Avr 18:45
Je suis dans un endroit sombre, que je ne reconnais pas, l'air est doux, je m'enfonce dans le sol comme s'il était constitué de coussins, en fait, c'est presque le cas, c'est plutôt un matelas recouvert d'étoffe rouge.
En baissant les yeux, je me rends compte que je suis nu.
Soudain, quelqu'un colla son torse contre mon dos, un homme.
En levant les yeux, je reconnais Asahi, il me regarde en souriant.
Mes joues s'embrasent devant l'insistance de son regard.
Il me retourne pour que nous soyons face à face, et, sans me laisser le temps de réagir, il m'embrasse.

Je me réveille en sursaut, rouge, en sueur, il est 6h30 du matin, au moins, je ne serais pas en retard cette fois ci.
Je me lève, et me prépare pour le lycée.

Il est 12h30, tourmenté par mon rêve, je n'ai pas pu écouter en cours, je n'arrive pas non plus à manger.


Encore une journée pourrie, pourtant, c'est vrai que je me demande si je reverrai un jour Fujiyoshi-san.

La journée esr finie, je n'ai pas cours ce soir, je rentre chez moi, perdu dans mes pensées; sans m'en rendre compte, je renytre dans quelqu'un, je m'excuse, et m'apprete à repartir, quand mes yeux rencontrent ceux de la personne que j'ai bousculée.

-Fu... Fujiyoshi-san.
 
Par kagura - Publié dans : coeur brisé
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Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 11:16
-Eh bien, Takumi-kun, moi qui me demandait quand est ce que je te reverrai...
-Ah, euh, oui bonsoir.
-Bonsoir, dis moi, est ce que tes parents sont chez toi?
-Hein? Euh non, je ne pense pas, ils sortent très souvent en fait... Pourquoi cette question?
-Eh bien, tu ne te souviens pas? Je t'avais dit qu'un jour je t'inviterai à déjeuner pour te remercier, même si à une heure pareille, ce serait plutôt dîner...
-Quoi, vous êtes sur?
-Mais oui, aller, viens chez moi.
-Quoi, chez vous?
-Mais oui, je cuisine très bien, tu verras, tu ne seras pas déçu.
-Euh, bon, d'accord.

Il m'emena chez lui en me tenant par la main, comme elle était chaude.
J'avais l'impression d'etouffer et je n'aurais pas été surpris d'être tout rouge.
Je n'arrivais plus à penser de façon cohérente, je ne voulais que lui, juste lui, les autres personnes n'existaient pas autour de moi.
Soudain, il s'arrêta, je me rendis soudain compte que nous étions devant une grande maison, un peu en dehors du centre de la ville.
Il ouvrit le portillon et m'invita à passer, je m'avançais sur le dallage de pierre qui formait un chemin jusqu'à la porte, tout autour; de l'herbe coupée au millimètre près et, au fond, un lac, dans lequel il y avait de magnifiques poissons (quelque canars barbottaient à la surface).
Voyant mon regard interrogateur, il dit :


'Il semblerait qu'ils aient élu domicile ici, comme ils ne me dérangent pas, je les ai laissés faire... Bon, tu viens?
Par kagura - Publié dans : coeur brisé
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Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 11:33
La porte était ouverte, il m'invitait à entrer.
Asahi étai manifestement riche.
Canapé de cuir, moquette sur le sol, télévision grand écran et bien d'autres choses que je ne pourrais jamais m'offrir...

-Ca te plait? Me demanda t'il.
-C'est... Luxueux, répondis je, abasourdis.
-Oui, ça c'est sur, bon nombre de gens m'envient, dit il en riant.
-A commencer par moi, lui dis je, toujours en train de detailler cet endroit de fond en comble.
-Vraiment?
-Oui, c'est magnifique.
-Merci, au moins ça veut dire que j'ai du goût. 
-Plus que moi en tout cas, c'est la première fois que je vois une maison aussi grande... et aussi belle.
-Eh bien, merci pour ces compliments, fait comme chez toi, je vais te faire visiter si tu en as envie.
-Ah, oui d'accord.


Il me fit visiter la totalité de sa maison, depuis les chambres (à létage), jusqu'à la cuisine, en passant par les toilettes; cette maison était vraiment gigantesque.
Quand nous eûmes fini, il me demanda :

-Est ce que tu as faim?
-Hum, oui, un petit peu...
-Eh bien, fais ce que tu souhaite, en attendant, je prépare le repas.


Au moment ou il allait s'éclipser, je me souvint d'une question qui me tenais à coeur:

-Attendez !
-Oui?
-Euh, est ce que je peut vous poser une question?
-Qu'y a t'il?
-Cette feuille de papier que j'ai ramassée, vous avez dit qu'elle était importante, pourquoi?
-Tout simplement parceque cette feuille était un dessin qui m'a rapporté pas mal d'argent.
-Vraiment? Vous dessinez quoi en fait?
-Cela dépend des demandes, parfois des paysages, parfois des portraits... Mais le plus souvent, je dessine des mannequins, pourquoi?
-Non, juste comme ça.
-D'ailleur, tu serais parfait, tu es jeune, mignon, sexy, et, qui plus est, super craquant, tu as les proportions idéales, ça te dirais de poser pour moi?
-Mais, euh...
Répondis je, rougissant et évitant son regard.
Il rit de ma gêne
.
-Tu n'es pas obligé de répondre tout de suite, si tu n'as pas d'autres questions, je vais aller preparer le repas.
-Hum, oui, d'accord.
-Ah, c'est vrai, j'allais oublier, mes croquis sont dans mon bureau, si cela t'interesse, n'hésite pas.
-Entendu
.

Je voulais voir ses dessins, je fis comme il me l'avait conseillé et montait à l'étage.
Arrivé dans son bureau, je détaillait un peu plus la pièce, il y avait un bureau bien dégagé avec différents outils de dessins, un fauteuil de cuir à l'air confortable, ainsi qu'un chevalet dans un coin.
Le tout faisait face à une grande baie vitrée donnant sur le lac.


Par kagura - Publié dans : coeur brisé
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Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 12:24
Me permettant d'occuper le fauteuil de cuir, j'ouvris les tiroirs pour y trouver des cahiers à spirales, j'en pris un au hasard et l'ouvrit.
Des dessins d'hommes, d'hommes habillés, d'hommes en sous vêtements, d'hommes nus , ah, tiens, un paysage, une femme en petite tenue, un autre paysage, un homme torse nu et une coupe de fruits.

Asahi dessine vraiment de tout, mais je n'ai pas envie de poser nu.

Soudain, j'entendis des pats dans l'escalier et Asahi apparut dans l'encadrement de la porte.

-Tu viens manger?
-D'accord.


J'ai rarement aussi bien mangé, au menu: soupe miso, riz, makis au thon et au concombres evec des sushis au thon rouge et, pour le desser, des dangos evec un verre de shiruko.
(NDLA: LOL, non seulement Asahi est mignon et sexy, mais en plus il cuisine bien, c'est cool non?)
A la fin du repas, il me demanda:

-Alors, tu veut bien poser pour moi?
-Euh, je...
-Tu ne poseras pas nu si c'est ça qui te gêne, tu peut poser habillé, torse nu ou en sous vêtements si tu préfère.
-Hum, oui, je veut bien essayer..De toutes façons, je crois que je garderais ce dessin pour moi, tu  est beaucoup trop mignon pour que j'en fasse profiter les autres.
-Euh, merci...
-Oh, il est tard, tu devrais peut être rentrer?
-Ah, oui, c'est vrai, merci pour le repas, dis je en me dirigeant vers la porte.
-De rien
, me répondit il.

Au moment ou j'allais ouvrir la porte, il me retint.

-Attend !

J'eus à peine le temps de me retourner qu'il m'embrassa, ne sachant que faire, je répondis à sont baiser, ses lèvres étaient si douces, si chaudes, sa langue demandais accès à ma bouche.
Nos langues se cherchaient, j'avais si chaud.
1 minute devait bien s'être écoulée lorsque nous nous sommes séparés.
Incapable d'utiliser mon cerveau pour analyser ce qui s'était passé, je sortis et rentrais chez moi en courant.
Par kagura - Publié dans : coeur brisé
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Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 12:41
Je suis rentré chez moi en courant, j'ai claqué la porte et m'y suis adossé, le souffle court, rouge comme une pivoine, il était impossible pour moi d'oublier cet instant.
Je posais deux doigts sur mes lèvres, elles étaient encore brûlantes.
Ce soir la, je me couchais sans manger et fit un rêve étrange.
Le même que la première fois, sauf que la, c'est allé plus loin : au moment ou Asahi m'a embrassé, je ne me suis pas réveillé, mais, comme quelques heures auparavant, je répondis à son baiser, il me fit assoir, puis coucher sur le sol, je sentais son sexe en érection contre le mien...
Soudain, mon rêve fut interrompu par une sonnerie stridente.
DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIING

Merde, mon réveil, on est lundi aujourd'hui...

Je me levais en baillant, et me préparait pour une nouvelle journée de cours.

15h25, le prof d'histoire n'est pas la, je peut sortr plus tôt, super, je pourrais penser à ce foutu rêve qui m'a encore empêché de travailler aujourd'hui... Mais les lèvres d'Asahi sont si douces...

Bordel, mais à quoi je pense moi?

En rentrant chez moi, je passais devant un banc, sur ce banc, un homme dessinait l'oiseau perché dans l'arbre d'en face.
Je mis 3 secondes a me rendre compte de qui était cet homme, immédiatement, le rouge me monta aux joues, pendant que je tournais la tête pour le regarder.
Se sentant observé, il leva la tête.

-Tiens, bonjour Takumi-kun.
-Bon... Bonjour Asahi-san.
-Eh bien, on dirait que nos chemins se croisent souvent.
-Oui, en effet.
-Alors, es tu décidé à poser pour moi?
-Hum, euh, oui, je veut bien... Dis je d'un air incertain.
-Parfait, quand es tu libre?
-Euh... Maintenant en fait, un prof est absent.
-C'est leurs seule utilité, aller, allons chez moi.
- D'accord.


Je suivi Asahi d'un air rêveur.
Arrivé chez lui il me dit.


-Si tu ne veut pas poser nu, alors j'aimerais que tu pose en sous vêtements.
-Bon, d'accord.
Par kagura - Publié dans : coeur brisé
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Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 12:58
Il me fit monter dans sa chambre, et, pendant que je me déshabillais, il installa son chevalet et choisit de me dessiner au fuseau.
Je pris la pause qu'il me demandais, assis sur le lit, les jambes écartées, les mains derrieres moi, sans qu'elles soient derrière mon dos, il me dit de garder mon air timide, de toutes façons, je ne pouvais pas prendre une autre expression.
Mon caleçon était gris, et je priais pour qu'il ne remarque pas mon excitation.
Il me dessina, et moi, je fermais les yeux pour ne pas avoir à eviter sont regard perver qui allait de moi à sa toile.
Quoique, je finis par ouvrir les yeux, n'ayant aucune envie de me laisser envahir par les pensées peu catholiques qui m'assailiaient...
Lorsqu'il eu fini, il me le dit et tourna sa toile vers moi, il dessinait vraiment bien, mais étais je réellement aussi... Rouge? (mouais, enfin noir quoi, vu que c'était un dessin au fuseau)
Comme pour répondre à ma question, il s'avança vers moi en me disant
:

-Tu es tout rouge, tu es sur que ça va?
-Hum... Oui.
-Vraiment, tu es sur? Tu est vraiment sur de ça?
-Euh...


Sans ma laisser le temps de répondre, il ajouta :

-Je t'excite vraiment temps que ça? me demanda t'il en posant une main sur mon sexe.

Merde, il avait remarqué.

Qu'il était beau dans son costume couleur crème, avec, en dessous, une chemise couleur lilas entrouverte, laissant voir une petite partie du haut de son torse magnifiquement imberbe et musclé...
Pour toute réponse, je lui enlevais sa veste.
Il m'embrassa fougueusement avant de s'allonger sur moi, tout en chuchotant à mon oreille d'une voie douce, mais terriblement sensuelle.

-C'est la première fois pour toi?
-Hum, oui
,
fis je pendant qu'Asahi me mordillait l'oreille.
-Ne t'inquiète pas, je serais doux, je ne te ferais pas mal.
-Mmmh,
fus ma seule réponse, j'était incapable de répondre autre chose à Asahi, qui m'embrassais dans le cou.

Lentement, Asahi souleva mon T-shirt, tout en m'embrassant sur le torse.
Il m'enleva mon T-shirt, et, lorsqu'Asahi recommença à m'embrasser sur la bouche, je pus défaire sa chemise et carresser son buste.
Il était si chaud, j'était incapble de retenir les gémissements de plaisir que provoquaient cette première relation sexuelle.
Je fis glisser sa chemise sur ses épaules afin de l'en débarrasser, lorsque nous fûmes interrompus par la sonnerie de mon téléphone portable.


Je crois que "eh meeeeeeeeeeeeeerde" fut notre pensée commune.

-Non,Asahi arrête, hurlais je presque, , cherchant desespérément mon téléphone portable.
Pour que mon correspondant insiste autant, ce devait être mes parents.
Je trouvais enfin mon téléphone, ainsi que la force de repousser Asahi et répondit.
Par kagura - Publié dans : coeur brisé
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Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 14:03

-Oui, allo, fis je, haletant.
-Takumi, c'est moi, rentre tout de suite à la maison.
-Maman, mais...
-Ne discute pas, rentre tout de suite, c'est compris?
-Mais...


Elle avait déja raccroché.
Asahi qui avait tout entendu de la conversation me dit :

-Tu peut rentrer, on fera ça une autre fois.
-Moui, mais c'est quand même dommage, dis je en me rhabillant.
-Ca c'est sur.


Il me raccompagna à la porte, nous nous quittâmes sur un dernier baiser.
Je rentre chez moi, me demandant ce qui pouvait bien être si important.
Arrivé chez moi, mes parents me dirent :


-Il faut qu'on parle.
-On dirait...
-Takumi, nous avons constat que tes notes ont baissées de manière dangereuse...
-Mmmmh...
-Tu sais à quel point nous attachons de l'importance à la préparation de l'avenir dans notre famille, aussi, nous avons fait appel à un détective privé...
-Percutage- QUOI???
-Je suppose que tu es conscient d'à quel point notre porte feuille en a souffert...
-Et alors? Personne ne vous a obligés à faire ça.
-Si toi.
-Je ne crois pas non, si vous avez des questions sur ma vie privée, vous n'aviez qu'à les poser...!
-Très bien, depuis quand tes notes ont elles commencées à baisser?
-Euh...
Depuis quand; ben depuis que j'ai rencontré Asahi je crois...
-Depuis que... Depuis que j'ai rencontré quelqu'un.
-Un homme, Asahi Fujiyoshi c'est bien cela?
-Euh, oui...
-Takumi, as tu une liaison sexuelle avec cet homme?
-Mais...
-Répond !!!
-Ou... Oui.
-Eh bien, au moins comme ça, c'est clair...En ce cas, c'est très simple, soit tu quitte cet homme, soit tu quitte cette maison.


Quelque chose en moi s'est "brisé".
Mes parents sont sortis de la pièce, et moi, je suis resté planté la, incapable de bouger.
Lorsque j'eu retrouvé ma présence d'esprit, je suis monté dans ma chambre, pour m'éffondrer sur mon lit, et pour y rester jusqu'au matin.
Le lendemain, je levais lentement la main pour éteindre mon reveil, je n'avais pas dormi.
Mon coeur étai brisé, plus jamais e ne pourrais revoir Asahi.
Je suis parti pour l'école, sans prendre de petit déjeuner, je marchais lentement, les yeux perdus dans le vide... Je bougeais, mais je n'étaitpas "la", mes mouvements étaient commes calculés à l'avance; depuis toujours, je suis manipulé, tout est toujours décidé pour moi; depuis ma naissance, ma voie est tracée par mes parents.
Mes parents n'avaient nullement l'air de s'inquiéter, ils auraient du pourtant.
J'ai appelé Asahi pour lui dire que c'était fini entre nous.

Par kagura - Publié dans : coeur brisé
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