Vendredi 2 mai
5
02
/05
/Mai
12:58
Il me fit monter dans sa chambre, et, pendant que je me déshabillais, il installa son chevalet et
choisit de me dessiner au fuseau.
Je pris la pause qu'il me demandais, assis sur le lit, les jambes écartées, les mains derrieres moi, sans qu'elles soient derrière mon dos, il me dit de garder mon air timide, de toutes façons, je
ne pouvais pas prendre une autre expression.
Mon caleçon était gris, et je priais pour qu'il ne remarque pas mon excitation.
Il me dessina, et moi, je fermais les yeux pour ne pas avoir à eviter sont regard perver qui allait de moi à sa toile.
Quoique, je finis par ouvrir les yeux, n'ayant aucune envie de me laisser envahir par les pensées peu catholiques qui m'assailiaient...
Lorsqu'il eu fini, il me le dit et tourna sa toile vers moi, il dessinait vraiment bien, mais étais je réellement aussi... Rouge? (mouais, enfin noir quoi, vu que c'était un dessin au fuseau)
Comme pour répondre à ma question, il s'avança vers moi en me disant :
-Tu es tout rouge, tu es sur que ça va?
-Hum... Oui.
-Vraiment, tu es sur? Tu est vraiment sur de ça?
-Euh...
Sans ma laisser le temps de répondre, il ajouta :
-Je t'excite vraiment temps que ça? me demanda t'il en posant une main sur mon
sexe.
Merde, il avait
remarqué.
Qu'il était beau dans son costume couleur crème, avec,
en dessous, une chemise couleur lilas entrouverte, laissant voir une petite partie du haut de son torse magnifiquement imberbe et musclé...
Pour toute réponse, je lui enlevais sa veste.
Il m'embrassa fougueusement avant de s'allonger sur moi, tout en chuchotant à mon oreille d'une voie douce, mais terriblement sensuelle.
-C'est la première fois pour toi?
-Hum, oui, fis je pendant qu'Asahi me mordillait l'oreille.
-Ne t'inquiète pas, je serais doux, je ne te ferais pas mal.
-Mmmh, fus ma seule réponse, j'était incapable de répondre autre chose à Asahi,
qui m'embrassais dans le cou.
Lentement, Asahi souleva mon T-shirt, tout en m'embrassant sur le torse.
Il m'enleva mon T-shirt, et, lorsqu'Asahi recommença à m'embrasser sur la bouche, je pus défaire sa chemise et carresser son buste.
Il était si chaud, j'était incapble de retenir les gémissements de plaisir que provoquaient cette première relation sexuelle.
Je fis glisser sa chemise sur ses épaules afin de l'en débarrasser, lorsque nous fûmes interrompus par la sonnerie de mon téléphone portable.
Je crois que "eh meeeeeeeeeeeeeerde" fut notre pensée commune.
-Non,Asahi arrête, hurlais je presque, , cherchant desespérément mon
téléphone portable.
Pour que mon correspondant insiste autant, ce devait être mes parents.
Je trouvais enfin mon téléphone, ainsi que la force de repousser Asahi et répondit.
Par kagura
-
Publié dans : coeur brisé
4