Amour et amitié chapitre 14

Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 11:45

Amour et amitié chapitre 14

Nous pûmes ensuite entendre un "waïe" suvi d'un "t'es méchant", de la part de Marie qui fonça vers la cuisine en hurlant :

'Maaaaaaaaamaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan !!!, Ils sont trop fatigués pour se lever, c'est à se demander ce qu'ils ont fait cette nuiiiiiiiiiiiiiiiiiit !!!

Alors que je tentais (vainement) de réprimer un fou rire incontrolable, Mathieu se leva d'un bond, saisit le, la "chose" en peluche que j'avais jeté par terre; et se lança à la poursuite de sa soeur dans tout l'appartement, dans le but de balancer le "truc" qu'il tenait dans sa main, dans la figure de sa petite soeur et de la faire mourir de rire à coups de chatouilles.
(En ce qui concerne "la" peluche, je ne peut me résoudre à dire que c'est un lapin, ce serait une insulte pour eux les pauvres, SAUVEZ LES LAPINS! ET LES REQUINS AUSSI; SURTOUT EUX EN FAIT!! cet interlude n'avait aucun rapport avec quoi que ce soit)
Toujour agité d'un fou rire, je commençais à m'habiller (difficilement, vu que mon corps était agité de soubresaut incontrolables); avec en bruit de fond les:

-Sale gosse, au pied... Si je t'attrape, je te tue, si je te chope, je t'envoie ce truc immonde dans la gueule, revient par le que je me marre...

et les:

-Non... Au secours.. Pitié... entrecoupés d'éclats de rires.

Après une demie heure de course poursuite/galopade dans tout l'appart'; Mathieu revint dans la chambre, victorieux et éssoufflé.
J'avais mis mo, pantalon et une chaussette.
Je regardais Mathieu, mort de rire, pourtant, je parvint à dire :

-Merci de m'avoir vengé, dis, je, parvenant enfin à me calmer.
-De rien, je met un point d'honneur à venger n'importe qui qui se serait pris l'une des immondes peluches de ma soeur dans la gueule.
-Cool... fis, je, étouffant un baillement. Waw, je suis shooté, pas toi?
-Si, bon, c'est pas pour casser l'ambiance, mais il faudrait peut être qu'on aille manger ou on va se faire engeuler.
-OK.

Nous nous sommes changés, et moi, j'admirai secretement l'Apollon qui se changeait derrière moi.
Lorsqu'il eu finit, j'était en train de me démêler les cheveux, ils sont aussis longs que ceux d'une fille, voir plus, alors forcéments, ça prend du temps.
Je lui ai dit de ne pas m'attendre et je l'ai rejoint, cinq minutes plus tard.