Le blog de kagura
Je sors bientôt de l'hopital.
Lorsque mes parents viennent me voir, ma mère se lamente et mon père s'excuse, mais je ne l'écoute pas, ses excuses sonnent faux.
Je ne veut voir qu'une seule personne, et ils savent très bien qui c'est.
Je leurs en veut de m'avoir sauvé, pourtant, je leurs avait dit que je ne désirais pas rester en vie.
Désirs... Asahi... Putain, mais c'est pas croyable, ce que je peut avoir l'esprit détourné en ce moment...
Mais je l'aime tellement, je rêve de lui toutes les nuits, et, hum, je crois que l'infirmière qui me veille le sait, au moins, elle a le tact de ne rien dire et de faire semblant de ne rien entendre... C'est déja ça...
Une semaine plus tard, je sortais de l'hopital.
Mes parents étaient venus me chercher, je ne leurs accordaient pas un regard et passais mon chemin.
Les cours reprennent demain, je n'ai pas envie d'y retourner, ça fait plus de 6 mois que je ne suis plus les cours, même si j'y était présent.
Quel est le pire: ne pas suivre ou sécher?
De toutes façons, ça revient au même, alors, quitte à faire l'un, autant faire l'autre.
Je suis rentré chez moi et ne suis plus sorti de ma chambre de la journée, pas même pour manger.
Le lendemain, je me suis levé et j'ai fait semblant de me préparer pour aller en cours.
Bien évidemment, j'avais rêvé d'Asahi, ce qui veut dire qu'une certaine partie de mon anatomie sous ceinturale (NDLA: nouvelle expression piochée sur le blog de http://penséedabsynthe.blog.jeuxvideo.com )
pas du tout au repos, ne voulais pas me fouttre la paix.
Une fois dehors, j'enlevais ma veste d'uniforme; bien décidé à ne pas aller en cours.
J'ai mis ma veste dans mon sac et j'ai laissé mes pensées vagabonder un peu.
Mauvaise idée, ce n'est pas comme ça que je me calmerais...
Je n'avais aucune idée de l'endroit ou j'allais , je ne faisais qu'avancer, rien d'autre.
Le temps passa sans que je m'en rende compte, lorsque j'ai levé ma tête et me suis arrêté, il était 18h30.
La ruelle que j'avait prise débouchait sur une grande place avec une fontaine.
Assise sur le rebord de cette fontaine, une personne dessinait les éoliènnes de la colline d'en face qui se détachaient dans le soleil couchant.
Il ne me fallut pas longtemps pour deviner qui était cette personne.
Lorsque mes parents viennent me voir, ma mère se lamente et mon père s'excuse, mais je ne l'écoute pas, ses excuses sonnent faux.
Je ne veut voir qu'une seule personne, et ils savent très bien qui c'est.
Je leurs en veut de m'avoir sauvé, pourtant, je leurs avait dit que je ne désirais pas rester en vie.
Désirs... Asahi... Putain, mais c'est pas croyable, ce que je peut avoir l'esprit détourné en ce moment...
Mais je l'aime tellement, je rêve de lui toutes les nuits, et, hum, je crois que l'infirmière qui me veille le sait, au moins, elle a le tact de ne rien dire et de faire semblant de ne rien entendre... C'est déja ça...
Une semaine plus tard, je sortais de l'hopital.
Mes parents étaient venus me chercher, je ne leurs accordaient pas un regard et passais mon chemin.
Les cours reprennent demain, je n'ai pas envie d'y retourner, ça fait plus de 6 mois que je ne suis plus les cours, même si j'y était présent.
Quel est le pire: ne pas suivre ou sécher?
De toutes façons, ça revient au même, alors, quitte à faire l'un, autant faire l'autre.
Je suis rentré chez moi et ne suis plus sorti de ma chambre de la journée, pas même pour manger.
Le lendemain, je me suis levé et j'ai fait semblant de me préparer pour aller en cours.
Bien évidemment, j'avais rêvé d'Asahi, ce qui veut dire qu'une certaine partie de mon anatomie sous ceinturale (NDLA: nouvelle expression piochée sur le blog de http://penséedabsynthe.blog.jeuxvideo.com )
pas du tout au repos, ne voulais pas me fouttre la paix.
Une fois dehors, j'enlevais ma veste d'uniforme; bien décidé à ne pas aller en cours.
J'ai mis ma veste dans mon sac et j'ai laissé mes pensées vagabonder un peu.
Mauvaise idée, ce n'est pas comme ça que je me calmerais...
Je n'avais aucune idée de l'endroit ou j'allais , je ne faisais qu'avancer, rien d'autre.
Le temps passa sans que je m'en rende compte, lorsque j'ai levé ma tête et me suis arrêté, il était 18h30.
La ruelle que j'avait prise débouchait sur une grande place avec une fontaine.
Assise sur le rebord de cette fontaine, une personne dessinait les éoliènnes de la colline d'en face qui se détachaient dans le soleil couchant.
Il ne me fallut pas longtemps pour deviner qui était cette personne.
Ven 2 mai 2008
2 commentaires
J'ai déjà deviné ^^'
Sefcro' - le 06/06/2008 à 08h58
Pas bien de sécher Oo...
Enfin, si ça permet de faire des rencontres comme ça XD...
Marine - le 10/07/2008 à 22h17