Le blog de kagura

6h du matin, je suis allongé dans mon lit, (enfin, celui de Mathieu), les mains calées sous ma tête, les yeux grands ouverts.
Je ne dors pas, je ne peut pas dormir.
Je me rends compte de l'importance dangereuse que prennent mes sentiments.
Je désire Mathieu un peu plus chaques jours.
Un peu trop.
Je pense à lui sans cesse, comment puis je travailler à ses côtés?
Le simple fait de sentir nos genoux se toucher par inadvertance sous la table lorsque nous sommes assis côte à côte, me fait frissoner et me rends presque fou de désir...
Je décidais de ne plus penser à tout cela et me tournait sur le côté, dans l'espoir de trouver le sommeil.
Je le trouvais, un peu plus d'une demie heure plus tard.
Je me réveillais à nouveau, 4 heures plus tard; Mathieu dormait toujours.
N'ayant pas envie de ressombrer dans des pensées obscènes, je me levais et m'habillais.
Ne pouvant supporter la vue de Mathieu endormit, si près et pourtant si loin de moi; je sortis discrètement de la chambre, en prenant soin de refermer doucement la porte, laissant ainsi Mathieu dans la noirceur de sa chambre.
Je me promenait dans l'appartement, il était étrangement vide.
En passant devant la cuisine, j'aperçus un mot sur la table.



Coucou les garçons,

J'éspère que vous avez passé une bonne nuit.
Je sais que vous êtes en vacances, mais essayez tout de même de travailler un minimum, d'accord?
Je rentrerais tard ce soir, Paul devrais rentrer vers midi et repartir ensuite; quand à Julie, elle devrai rentrer vers
16h30-17h

bonne journée et soyez sages.
                                                 Marie.

Suivi d'un:

Bisous grand frère,
                               Julie.


-Tilt-retour à la réalité-

Mais oui, les parents de Mathieu n'avaient pu prendre qu'une semaine de vacances, et celles de Julie étaient terminées...
Cela me laissait quelques "possibilités" amusantes...Cool...

N'ayant pas grand choses à faire, je suis retournée dans la chambre et me suis assis sur le lit.





Je précise (encore un fois), que c'est la 3ème fois que j'écris cette histoire, sur mon 1er blog, j'écrivais déja des choses en plus, par rapport à mon cahier, et maintenant, sur mon 2ème blog, j'écrit des choses en plus par rapport à mon cahier et à mon 1er blog...
ainsi, la 2ème phrase en partant de la fin (sans compter cette parenthèse... iiiiiiiiiiirks, au secours, j'ai l'impression de parler comme mon prof de français, qui, soit dit, en passant, doit bien avoir entre 65 et 70 ans), n'était présente ni sur mon cahier, ni sur mon blog précédent, je m'amuse un peu à rajouter des "clins d'oeils" trucs pervers, c'est tout
.
Lun 12 mai 2008 Aucun commentaire