Le blog de kagura
Paul apparut dans l'encadrement de la porte et se figea; je relvais la tête.
La situation devait être asser drôle à regarder, voir même comique:
Moi, assis à cheval sur Mathieu, une main sous son T-shirt, regardant son père d'un air pervers, comme si je le mettais au défi de nous empêcher de continuer; Mathieu, qui évitait le regard de son paternel d'un air gêné; et le paternel en question, retenant un fou rire, qui passait simplement en disant:
-Oh, pardon, je vous ai dérangés, continuez.
Il passa, je regardais Mathieu d'un air lubrique, iol était évident que j'avais très envie de continuer; surtout si on s'appuie sur le fait que mon jean, comme celui de Mathieu, commençaient à devenir "un peu" trop étroit; mais, à ma grande déception, il dit :
-On devrait peut être s'arrêter non?
Il avait raison, on ne pouvait pas risquer de voir un tel incident se reproduire, je répondis :
-OK? mais c'est bien parceque c'est toi.
-Crétin, bon, aller, dégage.
-J'ai pas envie.
-Dégage ! dit il en me poussant sur ma chaise.
-La c'est toi le cretin.
-C'est ça, bon, tu m'attends la? Je vais mettre un pantalon un peu plus souple...
-Je peut m'en occuper si tu veut...
-Nan.
-C'est ça, casse toi !
-Avedc plaisir, dit il en s'éloigant vers sa chambe, d'où sa voix me parvint à nouveau :
-Tu veut que je te prette un jogging?
-Nan, ça va, je squatte déja chez toi, alors je ne vais pas squatter tes fringues non plu.
-Comme tu veut.
Il revint, en pantalon de sport.
sympa le père, non?
La situation devait être asser drôle à regarder, voir même comique:
Moi, assis à cheval sur Mathieu, une main sous son T-shirt, regardant son père d'un air pervers, comme si je le mettais au défi de nous empêcher de continuer; Mathieu, qui évitait le regard de son paternel d'un air gêné; et le paternel en question, retenant un fou rire, qui passait simplement en disant:
-Oh, pardon, je vous ai dérangés, continuez.
Il passa, je regardais Mathieu d'un air lubrique, iol était évident que j'avais très envie de continuer; surtout si on s'appuie sur le fait que mon jean, comme celui de Mathieu, commençaient à devenir "un peu" trop étroit; mais, à ma grande déception, il dit :
-On devrait peut être s'arrêter non?
Il avait raison, on ne pouvait pas risquer de voir un tel incident se reproduire, je répondis :
-OK? mais c'est bien parceque c'est toi.
-Crétin, bon, aller, dégage.
-J'ai pas envie.
-Dégage ! dit il en me poussant sur ma chaise.
-La c'est toi le cretin.
-C'est ça, bon, tu m'attends la? Je vais mettre un pantalon un peu plus souple...
-Je peut m'en occuper si tu veut...
-Nan.
-C'est ça, casse toi !
-Avedc plaisir, dit il en s'éloigant vers sa chambe, d'où sa voix me parvint à nouveau :
-Tu veut que je te prette un jogging?
-Nan, ça va, je squatte déja chez toi, alors je ne vais pas squatter tes fringues non plu.
-Comme tu veut.
Il revint, en pantalon de sport.
sympa le père, non?
Sam 17 mai 2008
1 commentaire
un papa très ouvert d'esprit ça fait plaisir
cindy - le 09/01/2009 à 18h03